La légende des Fragments — Artefacts d’une histoire oubliée

Illustration d’ambiance représentant un paysage mystique avec des fragments lumineux flottant dans une lumière violette, symbolisant la légende des Fragments de Pimprenelle Studio.


Quand les objets rêvaient

Il y a des histoires qu’on ne raconte plus. Des récits trop anciens pour figurer dans les livres, trop précieux pour être confiés au hasard des mémoires.
Parmi elles, il en est une qui parle d’un monde façonné par l’art et les songes, où chaque objet était plus qu’un simple outil : c’était un écho, une clef, un fragment d’âme. Véritables artefacts, portent encore aujourd’hui la mémoire de cet âge d’or.

On dit que ce monde n’a pas disparu. Il sommeille.
Et que parfois, ses vestiges refont surface… sous la forme de Fragment.


Un âge d’or façonné par les mains

On raconte qu’autrefois, les créateurs d’un âge ancien avaient appris à insuffler une part de leur esprit dans la matière.
De leurs mains naissaient des artefacts capables de vibrer, de répondre à ceux qui savaient les écouter.
Chaque objet était unique, porteur d’une énigme ou d’un mystère, et chacun avait une fonction : garder une mémoire, protéger un secret, ouvrir un passage.

Dans ce monde, l’art et le jeu n’étaient pas des distractions, mais des sciences sacrées. Résoudre une énigme revenait à éveiller une part de la vérité. Explorer un artefact, c’était entrer en dialogue avec le passé.

Cet âge d’or a laissé derrière lui un héritage dont nous percevons encore les échos : des objets qui vivent entre nos mains, qui s’ouvrent, se déjouent, se racontent.


L’orgueil et la faille

Mais toute lumière attire son ombre.
La légende dit que les créateurs, dans leur quête de savoir, franchirent une limite invisible.
Ils avaient voulu rassembler en un seul lieu toute leur mémoire, tout leur pouvoir, toute leur connaissance.

Ce fut leur perte.

Car nul esprit, fût-il collectif, ne pouvait contenir une telle densité de rêve sans se briser.
Une fissure s’ouvrit dans leur monde. La mémoire se troubla, l’équilibre se rompit.
Le grand Inventaire qu’ils avaient bâti devint dangereux, incontrôlable.

Alors, dans un dernier acte de sagesse, ils prirent la décision la plus douloureuse : diviser ce savoir.


Le serment des éclats : naissance des artefacts

Le Grand Inventaire fut brisé en morceaux.
Chaque éclat fut enfermé dans un objet unique, scellé par une énigme.

Ainsi naquirent les Fragments.

Chaque Fragment contient une parcelle de mémoire, protégée par un secret que seul un esprit attentif peut déverrouiller.
Ces objets furent dispersés à travers les âges et les mondes, afin qu’aucun être ne puisse jamais posséder le savoir entier sans en être digne.

Depuis, les Fragments voyagent. Ils se cachent dans nos réalités, se déguisent en artefacts modernes, et attendent celui ou celle qui saura les comprendre.


Les fragments nous choisissent

Aujourd’hui, ces Fragments ressurgissent sous une forme nouvelle.
À travers l’artisanat, ils reprennent corps dans des objets mystiques et contemporains : une console oubliée, une boîte ensorcelée, une créature figée dans la matière…

Celui qui reçoit un Fragment n’est pas simple spectateur : il devient Gardien.
Car résoudre l’énigme d’un Fragment, c’est libérer l’éclat qu’il contient et enrichir le Grand Inventaire perdu.

Chaque Gardien ajoute sa découverte à une chronique commune. Et cette chronique, vous la trouverez ici même, dans ces pages.
À mesure que les énigmes sont résolues, l’histoire se réveille, se complète, et prend forme sous vos yeux.


L’éveil des premiers gardiens

Découvrez le tout premier Fragment révélé. Il cache une énigme, et avec elle une part du savoir perdu.

C’est par lui que la quête recommence.
D’autres Fragments apparaîtront bientôt : certains inspirés de mondes antiques, d’autres issus des rêves modernes, d’autres encore guidés par les ombres de l’imaginaire lovecraftien.

Chaque nouvel artefact est une clé supplémentaire vers le Grand Inventaire.

Êtes-vous prêt à devenir Gardien d’un Fragment ?


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